Pensée pour la nouvelle année
Pensée à méditer pour la nouvelle année et les périls de la campagne de l’élection présidentielle, entendue il y a quelques jours dans je ne sais plus quelle émission de radio :
« Une nation qui ne demande à son gouvernement que le maintien de l’ordre est déjà esclave au fond du cœur ; elle est esclave de son bien-être, et l’homme qui doit l’enchaîner peut paraître ». Alexis de Tocqueville Extrait de De la Démocratie en Amérique, Livre II, 1840 (10/18, 1963).
Je dédie cette phrase à ceux qui ont l’intention, en ce moment, de voter en avril pour l’un des candidats à l’élection présidentielle, ceux qui, de Pécresse à Zemmour en passant par Le Pen, se pressent avec leurs projets fous, qui consistent à jeter dehors tous ceux qui ne leur conviennent pas et leur paraissent étranges ou étrangers, à les enfermer dans des centres de rétention, et à les passer au kärcher.