5 et 6 octobre 2013
Cet automne, j’ai mélangé deux Dijon, images et temps, celui des trois années que j’y ai passées entre 1950 et 1953, où j’étais étudiante, et celui qui, en cette année 2013 s’est fait le cadre d’un Ring compressé en deux jours. Du premier, j’ai surtout rencontré un cadre vide et bien léché, comme passé avec un produit décapant, genre jex-four, j’en dirai un mot plus bas, et le second, le présent, m’a fourni une étonnante expérience musicale : il m’a permis de et préciser ma relation avec la (...)
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