Romantisme

7 articles

  • Charlotte, Marianne et les autres ou La nécessité du manque

    « Charlotte, Marianne et les autres ou la nécessité du manque », communication présentée à Bruxelles, au Colloque Le Romantisme, vertige ou vestige. Colloque organisé par le Théâtre Varia et le Ministère des Affaires étrangères, à l’occasion de la nouvelle mise en scène des Caprices de Marianne, le 24 février 1990.
    Il n’y a pas eu d’Actes publiés.

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  • Rattrapage express

    Ma « rentrée » parisienne en trente lignes. Avec retard. Juste quelques éclats, histoire de reprendre un peu la main avant de foncer dans le dur du Festival d’Automne.
    De la musique surtout. Les plaisirs de septembre, à la Philharmonnie ; comment dire Andris Nelsons arrivant presque en courant, si jeune, heureux, dynamique, à la tête du Boston Symphony Orchestra, pour bisser la dernière partie, enthousiasmante, de la splendide symphonie n°10 de Chostakovitch ; la surprise de trouver un (…)

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  • Lohengrin, Richard Wagner Opéra de Paris, 2017

    Attention : Cette chronique porte ici une date volontairement fausse ; elle a été écrite, en réalité, le 26 janvier 2017. Je l’ai déplacée pour donner de l’unité au « biopic » que j’ai par la suite réalisé à propos de Victor Puiseux.
    Créé à Weimar en 1858, sous la direction de Franz Liszt, et sans la présence de l’auteur, qui était banni pour ses idées politiques jugées révolutionnaires, Lohengrin, opéra en trois actes, est à la fois romantique et touchant, et, musicalement, il est une (…)

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  • Victor Puiseux, 8. Le temps d’apprendre à vivre

    1841-1845 : Rennes
    Victor est nommé au Collège royal de Rennes . Il se trouve, curieusement, pour son premier poste, nommé dans cette ville de Bretagne où Louis-Victor lui-même a commencé sa carrière de receveur il y a trente-cinq ans. La ville a grandi, est passée de près de 30.000 à près de 40.000 habitants. Le Parlement de Bretagne est majestueux, ornement de la ville classique du XVIIIe, mais les bas-quartiers sont encore fréquemment inondés : à partir de 1841, on commence le (…)

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  • Faust, hélas ! Opéra de Paris (captation sans public)

    J’ai détesté la retransmission de Faust, vendredi dernier 26 mars, sur France 5. .
    Ce que j’ai trouvé odieux, c’est la nouvelle mise en scène, qui avait été confiée par Stéphane Lissner avant son départ à Tobias Kratzer, triste héritage. Kratzer s’est tellement mis en avant, tellement étalé dans sa volonté de transformer le cadre du livret, privant les scènes de tout sens, que, happée par ces images pour essayer de leur trouver un sens avec les paroles, je n’ai rien entendu, rien pu (…)

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