Maxime et Gustave à l’épreuve de l’exotisme
J’ai mis près d’un mois à lire les aventures de Gustave et Maxime en Orient. Le volume paru chez Arthaud a 800 pages, dont Gustave Flaubert occupe entre les deux tiers et les trois quarts. En parler brièvement est donc une entreprise impossible, je la tente quand même, pour y voir moi-même un peu plus clair.
De novembre 1849 à mai 1851, quelle longue cohabitation, avec ses nombreuses surprises, éblouissantes ou désagréables, un climat épuisant, la fatigue (...)
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