Les Goncourt parlent très bien des autres, des paysages, des femmes, des hommes, de la peinture, des salons, des acteurs, des attentes, etc. Mais d’eux intimes, de leur identité pseudo-gémellaire, ils parlent rarement. Dans cette année 1865, où ils attendent anxieusement - car ce sont des anxieux - , de savoir si leur pièce Henriette Maréchal sera acceptée et jouée à la Comédie-Française, ils laissent échapper deux petits filets de confidences.
À la fin d’un déjeuner
« 25 mai. - Nous (…)
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