Paris, dimanche 19 avril 2020
J’ai fini Le Premier homme. La description, à la fois minutieuse et sans ordre, de la ville d’Alger, rend présente l’alternance de la chaleur - écrasante - et de la pluie - plus rare mais diluvienne -, qui baigne un monde de la pauvreté, de l’effort, de la difficulté et de l’énergie quotidiennes. Les saveurs, les parfums bons et mauvais, la couleur, les sonorité, la tension, les violences sourdes ou physiques d’un monde qui survit comme une île entre deux mondes, Arabes (...)
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