Mercredi 23 avril 2014, Ispahan
Sur le matin, à la lumière du jour, enfin, j’arrive à trouver l’ouverture de la porte-fenêtre du balcon. Air délicieux. Il fait gris et même, il pleut. Au moins, ça ne fait pas touriste ! J’entame le plus difficile de ce récit. Chronologiquement, il risque d’être un peu ennuyeux à faire, sans plan, sans autre ordre que celui de la proximité ou de l’éloignement des points de visites, des possibilités de marche ou de car, dans les quartiers encombrés. Barbara fait comme elle (...)
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