Hier dimanche 13 février, j’ai fait l’erreur d’aller voir le Don Giovanni de Mozart mis en scène par Ivo van Hove à Bastille. J’aurais dû rester sur la merveilleuse représentation donnée à Salzbourg cet été, sous la houlette de Romeo Castellucci, j’en avais rendu compte, belle, subtile et sensible, en accord avec la musique et le livret. Les divers accrocs de l’amour et du désir, de la révolte et des croyances, des conventions sociales et de la rage de vivre, dans les paroles et la (…)
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