Si toute la peinture occidentale faite entre 1890 et 1950 brûlait, à l’exception de celle de František Kupka, on aurait quand même, grâce à lui, une idée claire des questions que se sont posées les peintres, des sources qui les ont inspirés, des lignes qu’ils ont développées : l’exposition que lui consacre le Grand Palais m’a paru une sorte de perfection didactique pour présenter et cadrer un choix de 300 œuvres de cet homme, né en 1871 dans la partie tchèque (Bohême) de l’empire (…)
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