L’année dernière, je ne regardais pas beaucoup le temps qu’il faisait, j’avais une sorte de direction dans mes activités, elles relevaient ou tournaient autour, de la biographie que j’essayais de reconstituer autour de Victor Puiseux. Je parcourais avec lui tout le XIXe siècle, il jouait le rôle d’homme de ma vie. Il imposait ses goûts, son rythme.
Cette année, sans lui, c’est l’anarchie. L’hiver passe, du gris, du vent, des giboulées, de la neige par deux fois, mes vieux pots de fleurs (…)
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