Ces temps-ci, je ne sors pas, les grèves me bloquent chez moi. Ces grèves de transports, je les déplore, ainsi que les attitudes et le vocabulaire buté (« on lâche rien ») des opposants à la réforme des retraites. Paris est transformé en un agglomérat de petits quartiers moroses, sauf à être en pleine forme et à faire de kilomètres à pied.
Privée de mes visites chez mes amis, privée de mes distractions extérieures, théâtre annulé, concert décommandé, je lis beaucoup (en ce moment Paradis (...)
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