Bruxelles

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  • Créanciers, Grexit et novlangue

    Hier dimanche, vers 23 heures, les Grecs faisaient la fête dans la rue. Ils avaient bien raison, ils avaient dit NON à des propositions à la fois méprisantes, socialement inacceptables et économiquement stupides de ceux que tout d’un coup, on n’appelait plus que « les créanciers ». Les Grecs occupaient la moitié de l’écran des chaînes d’infos. Sur l’autre moitié, je voyais le travail qui se faisait devant moi dans les studios des chaînes de télé, et qui était de transformer les autres (...)

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