J’ai récemment cité Beckett et son horreur des magmas de paroles, et depuis, je me taisais, j’avais « calé » comme il dit. Je pensais, inutile de venir déverser mon point de vue sur la crise des gilets jaunes ; mais, tout de même, ce que je lis, vois et entends commence à me faire vomir. J’avais donc besoin, pour moi, de faire ce point un peu décousu, noir sur blanc, pour rester dans le thème de la couleur. De faire un panoramique de ce paysage à la fois dévasté et encombré. De poser ici (...)
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