King Vidor

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  • Une semaine à vomir 4 New York ou Le cinéma comme refuge

    III. Mercredi 31 octobre 1956. Un vol pour New York
    Dernière papaye au petit déjeuner, derniers huevos revueltos (œufs brouillés). Les joueurs de poker dorment encore. Je dois être à l’aéroport à 9 heures, enregistrer les valises bleues bourrées à craquer, chacune pèse vingt kilogs. Je les sens encore au bout de mes bras.
    On décolle à 11 heures. Le temps est clair, le Popocatepetl, sublime. Je vois en plein jour ce que j’avais survolé de nuit une quinzaine de mois auparavant, j’avais (...)

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