Vite, vite, il faut relire les classiques, - Virgile, l’Enéide, Homère, l’Odyssée -, avant qu’ils soient interdits pour complicité avec les migrants, dont ils racontent l’histoire, mieux, dont ils vantent l’histoire.
Car ces belles épopées de gens qui fuient les guerres, les pièges et les violences, de gens dont les bateaux errent en Méditerranée, ne sont rien d’autres que des histoires de migrants.
Prenez Enée, voilà un homme qui fuit son pays ravagé (Troie, en actuelle Turquie) avec (...)
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